En 2010, Dimitris Pikrodimitris a souscrit un crédit immobilier. Il touchait alors 27.000 euros par an. Aujourd'hui, il n'en gagne plus que 6.500 et, comme un nombre croissant de Grecs, ne rembourse plus, phénomène qui inquiète les experts en économie.
La bombe des créances douteuses 14/07/14

Frédéric Clavir
Journaliste
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