Proximus a donc confirmé ce jeudi son plan de "transformation" qui se traduira par la perte de 1.900 emplois. Une nécessité, selon la CEO du groupe, qui évoque des conditions de marché agressives et l'accélération de la digitalisation. Dominique Leroy n'exclut pas des licenciements secs et reconnaît un couac de communication.
Proximus: "pas d'autre choix", selon la CEO 10/01/19

Bruno Raveschot
Journaliste
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