S'il y a encore quelques jours le flou planait pour les producteurs belges de sapins, l'incertitude a aujourd'hui laissé place à la motivation. En effet, le gouvernement français a autorisé hier par décret la vente du fameux roi des forêts. Il faut dire qu'entre 80 et 85% de la production wallonne part à l'exportation et la France est notre premier client.
En pleine saison des tulipes, les horticulteurs néerlandais sont contraints de détruire des millions de fleurs chaque jour. Une situation dramatique qui s'explique par la chute de la demande mondiale en raison de la pandémie de Covid-19.
Selon le président de l'Union Ardennaise des Pépiniéristes, Jonathan Rigaux, le marché du sapin de Noël serait dévalorisé par les enseignes de grande distribution. En pleine haute saison pour les producteurs du secteur, le président de l'UAP tire la sonnette d'alarme.
La satisfaction était de mise à l'issue de la mission économique en Chine, emmenée par la princesse Astrid. Une mission qui a donné lieu à plus de 500 contacts entre entreprises belges et chinoises. De quoi offrir de nombreux débouchés pour des secteurs comme l'alimentaire en particulier.
La montée en gamme se précise chez Belgian Owl. La distillerie liégeoise s'apprête à livrer cet automne son premier whisky 5 ans d'âge, avant un 12 ans d'âge en édition limitée.
Le marché des voitures d'occasion connaît une augmentation notable en Belgique. Pour la première fois, plus de 2 milliards d'euros de voitures d'occasion ont été vendues en 2017, soit une augmentation de 17% par rapport à il y a quatre ans.
Dans le Sauternais, de nombreux châteaux tentent de dépoussiérer l'image de ce vin sucré et liquoreux en développant des offres oenotouristiques originales. Objectif: damer le pion aux grands châteaux du Médoc et conquérir de nouveaux marchés.
Tout va bien mais peut mieux faire... C'est en ces termes que l'on peut résumer le bilan 2017 de la FEVIA, la fédération de l'industrie alimentaire belge.