La pénurie de semi-conducteurs à l'échelle mondiale ralentit l'industrie dans une Europe très dépendante de l'Asie. L'Union européenne ne détient que 10% des parts de marché mondiale des semi-conducteurs, le but c'est de monter à 20%. La stratégie européenne mise beaucoup sur la recherche.
Fabrice Brion peut être satisfait, I-care, la société qu'il a confondé il y a 17 ans, vient de signer son plus gros contrat. 10 millions d'euros pour de la maintenance prédictive dans une centaine d'usines d'un grand groupe mondial.
Visant la neutralité carbone du site, le spécialiste wallon du biocarburant, BioWanze, investit 50 millions d'euros dans une deuxième chaudière biomasse. Grâce à cette nouvelle installation, le site fonctionnera dès 2023 à 90% grâce aux énergies vertes. Le nouvel outil permettra donc à BioWanze de réduire ses émissions de 55 000 tonnes de CO2 par an.
La Commission européenne tire les leçons de la crise pour adapter sa stratégie industrielle. Elle propose tout d'abord d'empêcher les grandes entreprises subsidiées par des puissances étrangères de venir fausser la concurrence dans l'Union européenne.
La Belgique devra importer de l'énergie verte si elle veut être neutre en CO2 d'ici 2050. Une coalition regroupant notamment DEME, le Port d'Anvers, Engie et Fluxys a mené une étude de faisabilité qui souligne l'importance qu'il y a à importer de l'hydrogène.
400 emplois vont être supprimés dans l'usine Bosch à Tirlemont. Près de la moitié du personnel. En cause, le manque de rentabilité face à la concurrence, Serbe notamment. L'usine compte se recentrer notamment sur ses activités de recherche en caoutchouc.
Malgré la crise sanitaire, l'économie chinoise s'en sort plutôt bien en 2020 puisqu'elle affiche une hausse de 2,3% de son PIB. Un chiffre qui dépasse les attentes des analystes. Il faut dire que la Chine, berceau du coronavirus, semble avoir réussi à maîtriser la pandémie sur son territoire. Alors que son économie tourne de nouveau à plein régime.
Les PME de notre pays envisagent de recruter à nouveau. Un signe de reprise économique imminente. Même s'il est trop tôt pour crier victoire. Parmi les secteurs les plus optimistes, la construction et l'industrie, mais également les secteurs non-essentiels.
BruMed est une société qui a été créée pendant la pandémie de la Covid-19 pour assurer la production de masques médicaux en Belgique. Mais, aujourd'hui, elle se sent délaissée par le gouvernement belge. Au point de remettre en question son investissement de 4 millions d'euros.
Le géant allemand de l'ingénierie a présenté ses derniers résultats. S'il enregistre un recul net de 25% en raison de la pandémie de la Covid-19, le groupe se montre résolument confiant pour 2021. Son dernier bénéfice trimestriel est en hausse de 28%.
Une étude de l'Union wallonne des entreprises est sans appel: tous les indicateurs des entreprises wallonnes sont au plus bas depuis 20 ans. La légère reprise du 3ème trimestre est balayée et la crise s'installe, avec un ressenti plutôt pessimiste des entrepreneurs wallons par rapport à l'avenir.
Les entreprises technologiques belges veulent éviter à tout prix un nouveau confinement. Leur chiffre d'affaires a plongé de 6,5% durant les six premier mois de l'année. Des milliers d'emplois ont été perdus. D'autres vont suivre.
L'emploi a progressé 4,2% par rapport à février, juste avant le coronavirus. Une progression surprenante, en partie due au chômage temporaire pour cause de force majeure en raison du Coronavirus. Les indépendants sont aussi de plus en plus nombreux.
Les faillites ont chuté de 30% au premier semestre grâce aux mesures de soutien des gouvernements. Mais elle devraient exploser d'ici la fin 2020 avec la lente reprise économique et la fin des mesures.
Le nombre de plateformes pétrolières en activité est en chute libre aux Etats-Unis. L'industrie pétrolière est exposée à des difficultés sans cesse croissantes. Une situation précaire accentuée par le Covid-19 et par l'émergence des énergies alternatives.
Mercredi, Etats-Unis et Chine signait la phase 1 d'un accord commercial. Mais de nombreux observateurs, dont la fédération de l'industrie allemande, pensent que le conflit sino-américain n'est pas terminé.
L'Allemagne a terminé l'année écoulée avec une croissance économique de 0,6% seulement. Le moteur traditionnel de l'économoie européenne a fait moins bien que la moyenne de la zone euro, son pire résultat depuis 2013.
L'industrie, moteur de l'économie allemande, va mal. Les commandes dans les usines s'affichent une fois de plus en recul, plus que prévu par les économistes.
Bonne nouvelle : le marché du travail se féminise ! C'est la conclusion d'une étude d'Acerta. De manière générale, l'emploi a augmenté, tous secteurs confondus. Et dans la plupart des cas, cette augmentation est plus importante pour les femmes que pour les hommes.